Kahakatashi : (nom masc.) [Euh... Chacun son truc, hein

1. Kaha, de son vrai nom Etienne, est un être assez étrange, car il est le précurseur d'une technique d'adaptation au sérieux assez insolite : le sérieux par le ridicule.
En effet, il n'est pas rare de voir cet énergumène traîner très tard le soir sur le forum d'Hammerfest, à l'affût de la moindre petite faute de frappe, le moindre point manquant, la moindre virgule mal placée, la majuscule oubliée ou encore la juxtaposition existentielle de deux propositions subordonnées non relatives à une proposition principale, mais à d'autres subordonnées, qui elles-mêmes ne sont relatives à aucun élément de la syntaxe hyperbolique métonymique.
Exemple : - La princesse a été piqué en plein nu. (joueur lamda 1)
(Kaha entre en scène)
- Suis-je le seul à avoir remarqué l'énorme contrepétrie de ce joueur lamda ?

- Où ça ? (joueur lamda 2)
- Hein ? (joueur lamda 3)
- Quoi ?

3. Détenteur de la plus valeureuse des récompenses distribuée à ce jour, Kahakatashi ne doit son succès qu'à une seule chose... ou plutôt à un seul être : Deepnight. Comment pourriez-vous seulement penser que quelqu'un pouvait terminer la Crypte Framboisée et en ressortir sain et sauf ? Personne ne le peut... Bien sûr, il n'est pas le seul à avoir des relations pratiques dans le secteur hammerfestian, mais tentons donc de ne pas ébruiter cette rumeur déjà si bien lancée

Exemple : Le meilleur joueur du net, c'est vous, plus personne n'a de doutes là dessus ! Votre collection de manettes de jeu fera sans nul doute des envieux. ^^ Igor dispose maintenant de l'option Tornade qui procure un boost de vitesse au début de chaque partie, quelle que soit les options choisies !
Et en plus, il ose se dire meilleur joueur du net, le bougre... Tous des petits mensongers hideux jekyllethydeux, frankensteinés et godzillés !

PS : Kahakatashi sera sans doute le seul à remarquer que sa deuxième définition est précédée d'un 3. et non d'un 2. Une preuve suffisante pour que vous soyiez enfin convaincus que les définitions journalières ont (au moins) un fond réel.