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à Eole un cheval d'exception:

Eole, tu es le plus magnifique cheval
Qui aurait pu croire à un tel amour
Entre un homme et un animal
Mais tu vaux bien plus que ce discours

A tout jamais nos coeurs sont liés
Et ils ne seront pas séparés
Pour rien au monde je ne te perdrai,
Pour rien au monde je ne te quitterai

Ce poème n'est rien
Comparé à ce que je ressens
Mais tu le sais bien
Car nous comprenons chacun nos sentiments

chupa57~envie de pleurer quand je pense à eole en pensant au jour ou je risquerais de le perdre... ~

Merci !
Tu est vraiment très gentil moogle5 !

de rien mais tu méritait vraiment tout mes compliments bravo

M.O.G

La poésie est vraiment un art magnifique ! Bravo à ceux qui ont posté de beaux poèmes !
J'en écrit également de temps en temps et j'avais même créé un site mais j'ai remarqué qu'on me les volait pour se les approprier ! Alors j'ai tout arrêté ! Je vais essayer de me remettre un peu quand même !

j'essaie vous me dirais si il est bien ou non:

Les fleur

Ces belle fleur
Qui gonfle mon coeur
Qui grandisse au file des heures
Je les aime comme mais soeurs
Elles ne sont pas des leurts
Elles produisent du bonheure
Et nuisent au malheure
Elles veillent sur nous comme des docteurS
Et transeforment le monde en lit
Qui nous amenne au paradis

Un peut cour mes j'ai fait de mon mieu

M.O.G

Pourquoi est-ce que je fuis
Comme je le fais la vie
Peut-être pour le manque d'amour d'un famille
ou celui qu'à leur petite-fille
les grands parents auraient du apporter
Aujourd'hui très mal je vais
Car trop de souffrance m'a été apportée
Et que je n'ai fait que la supporter
Ne pouvant en parler
A quiquonque me le demandais
Pourquoi toujours cette impression d'être rejetée
Peut-être parce qu'on ne juge que par la beauté
Perdue fut ma meilleure amie
Et jamais je ne m'en fus remise jusqu'aujourdhui
J'arrivais peu à peu à l'oublier
Mais la pression montait
Je ne pouvais supporter
de voir cette personne s'envoler
Alors que pour moi elle avait toujours été
Une personne à qui je pouvais me confier...

Eléonore tu me manques et jamais je ne t'oublierais...

chupa57

Comme l'a si bien demandé Rollerfou, voici le joli petit copié/collé sur le thread approprié qui n'était pas apparu lorsque j'ai utiliser la fonction rechercher...


Je vis aujourd’hui dans un immense foutoir
Triste soldat au paquetage illusoire
Cette mélancolie ne serait dérisoire
Nous sommes à ce jour en période de déboire
Honnis fourbes, faites que leurs noms soient oubliés,
Ou les vents des cavernes mugiront sur leur
Plus que scientifique carcasses verglacées
Jamais ils n’oseront, entrer dans leur demeure
A côté du décès se trouve l’avarice
Ce dont je veux parler, c’est du pire des vices.
Cette stupidité, cette débilité.
Si souvent adulés et si peu critiqués
Personne ne mérite autant d’être jugé.
Car bien que adulés, leurs erreurs sont restées.
Un jour je quitterai notre planète bleue
Mais fort heureusement, même s’ils sont affreux
Une fois envolé, je ne m’en soucie plus
Jamais je ne verrai, quelque idée farfelue.
Loin de moi cette idée, de tous les blasphémer
Bien que sur tous les toits, je voudrais le crier.
Soit tôt, au bon moment, voire même trop tard,
Un jour ils obtiendront, une réaction dare-dare
Ils le regretteront avec un goût amer
Lorsque le règne humain, deviendra éphémère
Même l’homme en lui-même, en mémoire de nos frères
Ne pourra s’empêcher de descendre en Enfer
Rechercher sans espoir, toute raison de vivre
Suivre les parchemins, sans doute les livres.
Rien de tout cela ne nous fera revivre.
C’est pourquoi aujourd’hui, j’aimerais dénoncer
Les actions de tous ces arroseurs arrosés
Un jour notre univers rejettera son ire
Afin de nous prouver qu’elle peut nous détruire.
Un jour, les corps célestes, sur nous se vengeront
Mais sur qui est la faute ? Qui donc est le poltron ?
C’était tout simplement, ces horribles savants.
Avec acharnement, ils se sont distingués
En lançant dans le ciel, horribles carnassiers,
Toute une panoplie de géants satellites
Qui, à force de temps, deviennent parasites.
Il est temps maintenant, de laisser l’engrenage
Afin de préparer, aujourd’hui mes bagages.
Car c’est bien connu, oui, qui vivra verra.
Et pourtant voilà, ce ne sera mon cas.
César l’avait bien dit, « veni, vidi, vichi »
Pour ce qu’il fallait voir, mieux vaut être parti.
Poète encore une fois, je ferais remarquer
C’est à cause de vous, que je me suis sauvé.
Stupide scientifiques, vaniteux destructeurs,
Au moins, là où je suis, j’ai trouvé mon bonheur.

In Maniaclanesques habitudes


Merci à Kerberos pour les compliments sur le poème.

Copié/collé du post de kerberos cité ci-dessus

Je le trouve bien court comme poème (oui, j'ai connu pire XD) ! Cependant il est bien fait, bien construit et long à écrire ! J'aurais pas fait mieux ! Tu me donne l'envie d'en écrire un maintenant ! Et dire que je dois faire un commentaire littéraire tu me gâche le non plaisir de travailler ! Sacré maniaclan ! Tu m'a surpris, tu es surprenant et tu me surprendra toujours à des moment où je commence à craquer !

Je voudrais bien que tu ouvres un jury afin qu'on puisse faire des note et des moyennes ! Quoique, on peut pas vraiment noter ton poème, car il est trop bien structuré pour qu'on essaies de te le casser !

En voici un très spécial du très célèbre poète Mallarmé :

Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx,
L'Angoisse, ce minuit, soutient, lampadophore,
Maint rêve vespéral brûlé par le Phénix
Que ne recueille pas de cinéraire amphore


Sur les crédences, au salon vide : nul ptyx
Aboli bibelot d'inanité sonore,
(Car le Maître est allé puiser ses pleurs au Styx
Avec ce seul objet dont le Néant s'honore.)

Mais proche la croisée au nord vacante, un or
Agonise selon peut-être le décor
Des licornes ruant du feu contre une nixe,

Elle, défunte nue en le miroir, encor
Que, dans l'oubli formé par le cadre, se fixe
De scintillations sitôt le septuor.

Il s'agit du Sonnet en x, connu pour sa particularité... Il a été écrit en plus de vingt ans !

Je me permets de remonter le topic pour annoncer que mon poème n'a pas plu à mon professeur de lettres... 08/20... !