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hoooooooo, c'est Pytytange, désolé

WOW !

Je viens de lire l'intégralité du livre 1. Je ne lis pas très vite; alors ça m'a pris une bonne heure et demie
Je crois que c'est L'un de mes meilleurs livres à vie. J'ai tout adoré. L'action, l'humour, le suspense, même le bûcheron qui tombe amoureux et a plein de gosses. Sans aucun rapport avec L'histoire ;D
À la fin , j'ai adoré :
Toute trace de moisissure laissa place à une propreté impeccable et un air pur fraîcheur lavande.
Franchement, misterzero, tu as un de ces talents !! o:
Je suis renversée. C'est magique. Encore une fois, je n'ai qu'un mot : wow

J'attends avec impatience le livre 2 (:

C.

une vraie fan =D

Bon okay, c4tou, toi, tu as su me carresser dans le sens du poil... Celui-là est pour toi !
Un extrait du livre 2.



Prologue : le récit du squelette
Yell Sarus s'approcha d'Igor et lui dit plus calmement :
" Ecoute cette histoire, étranger, visiteur. Il fut un temps où un puissant roi régnait sur son Etat par la terreur. Il affirmait son autorité avec tant de force que les citoyens voulaient quitter le pays. Mais même les frontières étaient surveillées, et ceux qui entraient ne pouvaient plus sortir. Les dieux n'étaient pas d'accord. Qu'un homme comme lui puisse jouer avec la liberté des autres hommes, c'était un crime. Mais leurs pouvoirs divins, encore limités en ce temps-là, ne leur permettaient pas de le punir pour cette raison. Alors ils se proposèrent une expérience, quelque chose de fabuleux et moralisateur qui resterait comme un message caché dans une fable que l'on raconte aux enfants avant de les endormir. Ils choisirent un édifice éloigné, un bâtiment mystérieux qui donnerait lieu à leur petite épreuve ; et ils trouvèrent un hôtel abandonné dans les régions des plaines. Ils sélectionnèrent quatre participants. Les trois premiers furent pris au hasard : un forçat venu des montagnes, une savante, et un voleur des rues agé de 9 ans. Le quatrième participant était ce fameux roi tyrannique. Le but de l'épreuve était en apparence simple : sortir de la chambre d'hôtel. Mais lorsque chacun leur tour, ils s'éveillèrent dans leur chambre, ils constatèrent qu'un lion sauvage et affamé était enfermé à clé avec eux. Pour s'en sortir, chacun des cobayes eut sa propre technique. Voici comment tout se passa. Le forçat assoma le lion grâce à ses poings puissants, et ouvrit la porte verrouillé en la déboitant d'un coup d'épaule. L'érudite utilisa un chadelier pour faire basculer l'armoire massive sur la tête de l'animal furieux, puis elle observa la serrure avec une loupe qui se trouvait là pour déduire la forme de la clé qu'elle imita en tordant un cintre en fil de fer. Le petit garçon passa par la fenêtre ouverte et grimpa sur la corniche jusqu'à ce qu'il trouve une autre chambre dont la porte n'était pas fermée. Mais par contre, le puissant roi était seul. Il n'avait à sa disposition ni valets, ni garde rapprochée, ni esclaves. Il se fit dévorer... Aujourd'hui, les dieux, s'ils existent toujours, sont bien moins cléments ; ils laissent en place les évènements perturbateurs, et laissent vivre les personnes qui provoquent le malheur chez les autres hommes. On dit que la morale symbolique de cette histoire est que la bravoure, l'intellignece ou l'espoir valent cent fois mieux que l'autorité d'un souverain. Mais je crois personnellement qu'elle est légèrement différente. "

Mais je crois personnellement qu'elle est légèrement différente.
Est-elle qu'il ne faut jamais participer à des émissions de téléréalité impliquant des chambres d'hôtel fermées à clé et des lions affamés ?

(Merci pour la dédicace ! )

Ohhhh !
Toujours autant de talent à ce que je vois ! J'ai bien hâte de lire le chapitre 1.
Ah, et j'allais oublier, merci, merci merciiii (:

C.

Encore une fois, je n'ai qu'un mot : wow
Haaaa! Vade retro Satanas!

(Pour ceux qui ne le sauraient pas, WOW est le diminutif de World of Warcraft Oo).

@misterzero => Tu nous mets l'eau à la bouche.

Haaaa! Vade retro Satanas!


Bizzarre, on me la dit souvent celle-là

C.

Oh moi, vous savez, WoW, j'ai jamais voulu y jouer, ça a l'air d'un compliqué...



Chapitre 1 : perdu, essaye encore !

La rapière magique que tenait Igor en ses mains portait le même nom que son prédécesseur. Un destin tragique. Likjam avait passé sa vie à se battre pour le cash, il n'était rattaché à rien, n'appartenais à aucun camp. Avant de mourir, le mercenaire avait murmuré qu'il irait au Valhalla. Dans la mythologie nordique, le Valhalla est le pays où les âmes des grands guerriers et combattants morts se réunissent pour s'entraîner au combat pour l'éternité, jusqu'à ce qu'éclate Ragnarok, la guerre qui provoquera la fin des temps. Likjam se considérait donc comme un véritable soldat... Il avait au moins eu une bonne fin.

" Maintenant, se demanda Igor, est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer ce qui se passe ? "

Après une série de flash, il s'était retrouvé dans un autre monde dont il ne savait rien. Sandy n'était pas à coté de lui. Elle avait surement atterri à un endroit plus éloigné. Igor, assis sur ses fesses, se leva pour regarder autour. Il ne reconnaissait rien du paysage fabuleux qui l'entourait. Tout était si merveilleux. Et inconnu. Des plaines vertes à perte de vue, de l'herbe duveteuse, des arcs-en-ciel, des petites montagnes, quelques étangs, une ou deux constructions en bois, des fleurs jaunes un peu partout, des cristaux de glace sortant de terre, des étoiles en plein jour, des lianes suspendues à des falaises brunes, un soleil absolument radieux... Il contemplait avec étonnement ce nouveau monde à la fois splendide et cucul la praline.
Puis, une petite créature rose passa calmement à coté de lui. Igor la regarda sans faire attention, revint au paysage, puis soudain à la créature. Oh mon dieu. Il en avait déjà vu à Hammerfest ! Il en était sûr. Comment ça s'appelait déjà ? Oh mon dieu. Il bredouilla :
" Mais c'est... un... un Piou-piouz ?! "

Mr zero

C'était un genre de poussin rose et rond, avec de petites pattes noires, un bec court et arrondi, et des yeux à faire craquer n'importe qui. Igor en avait croisé dans les cavernes de Hammerfest sous la forme d'objet, mais on dirait bien que cette fois, c'était lui qui était arrivé dans leur monde. Sandy apparut de derrière une colline. Igor vint la voir.
" Nous sommes dans le monde des Pioupiouz ! Qu'est-ce qu'on est censé faire, maintenant ?
- Bah, j'en sais rien, moi. Regarde dans ton carnet. "

Il acquiessa de la tête, et rangea son épée pour sortir de sa poche le dit carnet. Il eut même le temps de l'ouvrir avant que le tourbillon bleu ne s'ouvre sous lui et lui fasse de nouveau changer de dimension...


Une série de flash, et il réapparut dans un autre décor : de longues dunes de sable dans un crépuscule indigo. Là, Sandy était près de lui. Ils échangèrent un regard. Igor ouvrit grand la bouche, cligna des yeux et dit :
" Qu... J'ai rien fait ! C'est pas moi.
- Ni moi, andouille. Ce n'est pas le carnet qui a provoqué ça ?
- Euh... je ne pense pas. "
Pour être sûr, il regarda dedans. Il n'y avait aucune indication sur aucune page... Juste quelques traces grises et floues.
" Ou alors, ce sont les mystérieuses interférences dimensionelles dont ont parlé les Carroteux...
- Attends, attends ! Tu veux dire qu'on va encore devoir se ballader dans d'autres mondes de façon totalement aléatoire avant d'arriver à la bonne destination ?
- J'aurais pas dit m... Hé, c'est quoi ?! "

A l'horizon se découpaient des formes humaines en approche rapide... Leurs mouvements bizarres étaient semblables à ceux des pantins, et leurs pieds soulevaient le sable derrière eux... Leurs habits étaient déchirés... Igor et Sandy les regardèrent longuement avant de s'apercevoir que ces gens qui courraient vers eux n'avaient plus grand chose de très humain en eux.
" Nom d'une carotte ! Des Hordes de zombies !
- Oh non... On est pas dans la mouise. J'espère que le carnet va vite nous téléporter hors d'ici.
- On ne peut pas le commander, Sandy. D'ailleurs, c'est pas lui qui nous transporte, c'est au hasard.
- Ils s'approchent ! AAAAAAAH ! J'AI HORREUR DES ZOMBIES ! "

Les morts-vivants se ruaient vers eux. Igor lança une bombe à neige pour en geler une bonne demie-dizaine avant que le tourbillon bleu ne les emporte en sureté. Le premier zombie à la tête de la horde s'arrêta d'un coup, stoppant les autres, en se demandant comment leurs proies avaient disparu, et aussi pourquoi leurs congénères étaient coincés dans des cubes de glace. Sa réflexion ne dura pas longtemps, car un tueur de zombies embusqué lui éclata le crâne par un tir de fusil éléphant.



Master misterzero

j'aime bien !
"C'était un genre de poussin rose et rond, avec de petites pattes noires, un bec court et arrondi, et des yeux à faire craquer n'importe qui."
ô un pioupiouz !