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Forum > L'arbre de Wanda la Pomme > fil de discussion

William et l'échiquier maudit

Niveau Pyramide : 1 1583
samedi 27 févr. 2010 21:28
Pas besoin de me défendre, ces fictions sont pour moi les plus nulles que j'ai jamais écrites jusqu'à présent ! Du moins, j'ai des idées nouvelles mais me faut du temps pour les mettre en place !

:) Enjoy, en avant pour le chapitre...

Chapitre X – De courtes retrouvailles

Les garçons franchirent une porte les menant droit vers une géante salle illuminée par un trou de lumière semblable au vortex que William avait déjà aperçu la dernière fois. Cette salle représentait un géant échiquier, avec toutes les pièces placées à leur place initiale, excepté les deux pions blanc et noir du milieu !
Hé mais c’est…
William reconnut aussitôt le jeu : c’était l’échiquier mais d’une façon très agrandie, ou alors aurait-il rapetissé ? Une question qu’il ne pouvait répondre, ni même y réfléchir tellement la terreur prenait place dans son esprit. Le battement de cœur était tel qu’on aurait cru entendre un séisme : après tout le combat qu’il s’est vu accumuler tantôt dans la forêt en tant que loup-garou, et la course dans ce monde : il n’en pouvait plus. William commença alors à crachoter un peu de sang et s’écroula à genoux sur le sol.
- William ! Qu’est-ce que tu as ? C’est ce passage là dont je te parle !! s’empressa de prononcer son ami qui pointait du doigt le vortex.
- Ou.. Oui… Je…
William ne pouvait même pas terminer sa phrase tellement il dût toussoter, fatigué par les nombreuses épreuves qu’il vient de subir : son endurance n’était pas faite pour ça ! Les filles n’étaient pas loin derrière, et déjà elles franchirent la porte. Mme Wengdell était fatiguée également, elle n’avait plus l’âge pour ce genre d’aventures, et elle était tellement faible qu’elle dût s’appuyer sur le dos de sa fille pour rester sur ses deux pieds. A la vitesse de leur précipitation, elles n’eurent point le temps de s’arrêter face à William, et trébuchèrent toutes les trois sur le pauvre garçon. Non seulement fatigué, William se vit devoir subir trois fois son poids entassés sur son dos ! La vraie Rose se débrouilla tant bien que mal à se relever pour soulever le corps de sa mère, tandis que son double se servit de sa force musculaire pour se relever tout en écrasant le pied de William qui n’arrivait même plus à hurler de douleur tellement il était fatigué.
Ca y est ! J’ai eu ma dose ! Même ma jambe est d’accord !
Rose aperçut le vortex : il était encore assez élargi pour pouvoir le traverser : mais il n’aurait fallu que William et l’handicapée à traverser. Elle était déterminée à rester auprès de sa vraie mère. Décidée, elle empoigna le bras de William qui était à terre, et le força à se relever :
- Allez William !! C’est pas le moment ! Tu auras tout le temps de récupérer plus tard ! encouragea-t-elle.
- Le passage va bientôt se refermer ! avertit la mère qui surveilla l’ouverture
Les infirmiers à l’arrière furent proches, très proches à présent : quelques mètres à franchir et ils auraient tous les cinq personnages en fuite.
- Allez dépêchons ! ordonna Jimmy qui fut le premier à reprendre la course.
Tous les cinq se mirent alors à courir vers le milieu de la pièce, là où le portail menant au monde réel était ouvert : tout juste situé en face du pion noir central ! On entendit alors le raisonnement de tous les pas précipités vers le milieu, et déjà, les infirmiers furent sur place ! La petite Rose handicapée, à jupe courte, qui aperçut les infirmiers à l’arrière, accéléra sa course et voulut atteindre Jimmy qui était en tête de file. Jimmy remarqua que les pas de courses l’approchaient, et instinctivement, il en fit de même. Mais la jambe de bois qu’on lui avait placé en guise de jambe de remplacement ne suivit point son rythme, à tel point que Jimmy en perdit l’équilibre et trébucha en cours de route. William ne put s’empêcher de crier son ami par son nom et de s’arrêter de courir.
- JIMMY ! NON ! cria-t-il
Roser aperçut le fameux Jimmy que William cherchait depuis le début, mais sut que William ne doit pas s’arrêter en cours de route lui aussi. Elle l’empoigna de force et le mena toujours plus proche du vortex qui commençât à perdre de son intensité.
- Allez, viens William ! ordonna-t-elle
- NOON, JIMMY !!! insista-t-il
Rose le força sans retenue à l’entraîner vers l’ouverture. Son double aperçut de son côté sa chère poupée dorée, cachée bien derrière l’une des pièces de l’échiquier. Elle remarqua la présence dorée qui luisait qu’elle n’avait plus vu depuis sa tendre enfance.
- Et d’un !!! annonça Rose d’un ton ferme en faisant traverser William dans le vortex qui hurla ce fameux « NON ». Allez Rose, à toi ! ordonna-t-elle
Mais Rose aperçut que la jeune handicapée était sourde à tout ordre, et qu’elle était plantée sur place immobile comme une statue de marbre à regarder quelque chose comme si elle n’en croyait pas ses yeux !
- Rose ! ordonna la mère. Viens ici tout de suite !
A ce moment on entendit le hurlement de Jimmy : il allait de nouveau se faire emmener, et il se faisait tirer par les pieds en arrière de telle sorte qu’il hurla de douleur. Mme Wengdell et sa vraie fille s’approchèrent alors de la jeune handicapée pour lui forcer à entrer dans l’ouverture qui commençât à se refermer petit à petit. Toutes deux empoignèrent chacune un des bras de la jeune fille, et commencèrent à lui tirer : en vain. La petite handicapée était tellement forte qu’elle résistât contre toute attente aux efforts des deux femmes. Au contraire même, la fille fut persuadée que sa poupée était présente dans la pièce, et de sa force, elle se débarrassa de ces quatre mains qui lui touchaient, envoyant du côté noir de l’échiquier la pauvre Rose, et la mère du côté blanc de l’échiquier d’où venaient les infirmiers.
- MAMAAAANNNN !!!!! hurla la jeune Rose en plein vol aérien
- ROSE ! répondit sa mère.
La jeune fille handicapée se résolut à courir le long de la partie blanche de l’échiquier et récupéra son ancienne poupée qu’elle avait toujours chéri, et se décida à cajoler sa chérie jusqu’au moment où un infirmier lui planta quelque chose à l’arrière afin qu’elle s’écroule endormie. Quant à la vraie, elle se releva et aperçut d’abord le vortex qui avait disparu, et enfin sa mère se faire emmener par les infirmiers :
- VA-T-EN CHERIE !!! hurla-t-elle dans son dernier souffle
Rose comprit qu’elle ne pourrait rester avec sa mère plus longtemps, et qu’elle ne pourra pas non plus se risquer à forcer de retourner libérer son double pour l’emmener dans son monde. N’ayant d’autre choix, les larmes aux yeux, Rose se décida à devoir retourner dans le monde où elle y a vécu la majeure partie de sa vie : c'est-à-dire, dans le monde réel, là où a été entraîné William. Les infirmiers commencèrent à traverser le long de la géante pièce, et Rose se releva, courut vers le coin de la pièce et sortit son collier d’un alliage inconnu, pinça fortement les deux côtés du cristal au centre du collier de sorte à ce que l’on vit un bouton se déclencher. Et à cet instant, en face d’elle, à quelques mètres, un portail s’ouvrit qu’elle traversa en plein saut avant de relâcher la détente de son talisman et ainsi refermer le portail avant qu’un infirmier n’ait pu le traverser. Rose se retrouva chez elle, dans la brocante et aperçut sa mère qui attendit le verdict :
- Alors ? demanda Mme Wengdell. Il s’en est sorti ?
- Oui, répondit-elle à voix basse et tête baissée.
- Rose ? demanda sa mère. Ca ne va pas ? Qu’est-ce qui s’est passé ? demanda-t-elle inquiète
- Rien, c’était juste… Un mauvais rêve… répondit-elle en se relevant.
Rose s’approcha de sa mère, et l’enlaçât, à la fois triste et soulagée. Sa mère remarqua qu’elle a dû y voir quelque chose d’atroce, et lui rassura :
- Ca va aller Rose… Ce n’est qu’un autre monde, il n’y a pas a t’en faire puisque tu n’as aucun lien de parenté avec mon double.
Rose comprit qu’il était évident qu’elle ne pourrait expliquer le monde qu’elle a vécu, et surtout la vérité qu’elle eut enfin découvert après tant d’années...
Niveau Pyramide : 2 3360
dimanche 28 févr. 2010 13:00
je trouve pas sa pas mal:)
mais je trouve le début un peu brouillon .
moi je te conseille des rebondissement vers la fin du genr il rencontre une perssone sympa au debus et on découvre aprés que ces un méchant.
je mi connait aussi en histoire vu que jen crée eu:D .
bon courage pour la suite
Niveau Pyramide : 2 4687
dimanche 28 févr. 2010 17:25
Toujours aussi géniale(on écrit pas raisonnaient mais résonnaient)

Que dire de plus? Même plus besoin de dire que c'est génial,mon prochain post ne contiendra que ma signature,et tu sauras ce que cela signifierait!

1229 Trancheuse de 66 1229
Le Panthéon ! 1
dimanche 28 févr. 2010 17:27
je trouve pas sa pas mal:)
mais je trouve le début un peu brouillon .
moi je te conseille des rebondissement vers la fin du genr il rencontre une perssone sympa au debus et on découvre aprés que ces un méchant.
je mi connait aussi en histoire vu que jen crée eu:D .
bon courage pour la suite


Alors vive les correcteurs orthographiques ! :youpi:


112
Niveau Pyramide : 1 893
dimanche 28 févr. 2010 18:13
C'est bien ce que je disais une page plus tôt :D

96 113 102
Le Panthéon ! 1
dimanche 28 févr. 2010 18:17
Ouais ouais, je sais, mais là c'est quand même des fautes assez euh ...bref ! :innocent:


112
Niveau Pyramide : 1 1583
dimanche 28 févr. 2010 22:30
Le bonsoir,

Tout d'abord, je vous remercie de vos commentaires et de vos encouragements :)

En réponse à zozo10 : Alors en premier lieu, le premier épisode était au départ sujet d'un court-métrage, scénario qu'un de mes amis m'a demandé de réaliser, et je l'ai faite de façon théâtrale. Donc, comparée au second chapitre, c'est vrai que ça reste plutôt brouillon, mais ce n'est pas très grave ! ^^

leeman60 : Si dans ce forum, il existerait la fonction éditer, il y aurait bien des lustres que j'aurais édité et ré-édité maintes fois chacun de mes chapitres ! :) En ce n'est que le début de l'histoire alors...

eragon06 et balabus : je crois que vous vous confondez, ou alors je n'ai pas suivi. Néanmoins, j'ai de moins en moins tendance à "accepter" des commentaires aussi courts depuis que je suis devenu modérateur d'une autre section. Je vais essayer de m'efforcer à m'en rappeler qu'ici c'est une exception :D !


Bon, en bref que voilà ce soir, voici la suite :

Chapitre XI – Confiscation

William hurla à travers le vortex, il était sidéré qu'une fille aussi belle que pouvait être Rose le pousserait de force dans le trou dimensionnel sans qu'il puisse sauver son ami Jimmy des affreux de l'hôpital.
C'est pas vrai! Non! Non et non! JIMMY!!!
La vitesse à laquelle William glissait dans le passage inter-dimensionnel était phénoménale, surtout lorsqu'il glisse en arrière ! Au bout de ce qui sembla être une éternité : une minute, William atterrit au bout du tunnel et tomba sur le plancher de sa chambre. L'échiquier se trouva en face de lui, petit, comme la dernière fois qu'il y avait joué !
Bien, me voilà débarrassé d'elle! Je pourrais y retourner sans problèmes!
- William ? Jimmy ? appela sa mère.
- Euh... Oui maman ? bégaya-t-il
- Ne voudriez-vous pas jouer dehors ? Il fait beau dehors!
"Ding Dong" sonnait-on à la porte, puis l'on entendit des bruits de pas raisonnant dans le hall d'entrée.
En voilà de la compagnie pour une après-midi! Mais plutôt que d'accueillir cette personne, il faut continuer à jouer!
- William ? appela sa mère. Tu as une amie!
Une amie ? Que je connais ? Au lycée, je n'en croise aucune qui s'intéressait à moi à cause du frimeur de Jimmy que je fréquente! Qui donc viendrait ?
William sortit alors de sa chambre, descendit les marches de l'escalier et retrouva Rose Sorent à l'entrée bien vêtue pour une une soirée en discothèque!
- Coucou William! dit-elle souriante avec un air plutôt branché et sexy.
William fut bouche bée dès le premier regard, après la Rose handicapée de l'autre monde, et après ce que cette Rose lui a formellement interdit de penser à de tels fantasmes : il ne l'imaginait point la voir venir se pointer devant chez lui de cette manière!
Whoaah... Qu'est-ce que je suis supposé faire dans ce genre de cas ? Je n'en ai jamais eu affaire depuis... des lustres ?
- Je trouve ça bien dommage que tu ne m'ais pas parlé de ta petite amie plus tôt! commenta sa mère
William se tourna vers sa mère d’un air un peu ahuri :
- Mais maman, je…
- William avait toujours envie de repousser la date de notre rencontre, madame! coupa Rose. Je pense qu’il est plutôt du genre timide! Mais, je l’apprécie bien comme ça! Pas vous ? demanda-t-elle maline.
Pourquoi est-ce qu’elle me fait tout ce cirque ? Pourtant, elle ne m’appréciait pas tout à l’heure !
- Hé bien… j’avoue que je ne l’ai pas connu de cette manière! répondit la mère
- Euh… Maman… signala son fils : Tu peux nous laisser cinq minutes s’il te plaît ? demanda-t-il
- Euh, oui, oui, bien sûr ! comprit sa mère. Je vais m’occuper de Jimmy, d’accord ?
- Euh… Euh… Non, non, non !! s’écria William. Ca va, il est occupé, il ne faut surtout pas le déranger ! prévient-il
- Bon, d’accord ! répondit sa mère intriguée. Décidément, j’ignore ce qu’il fait là-haut, mais j’ai comme l’impression que tu n’as pas envie de me le dire non plus, je me trompe ?
- Non, non, tout va bien ! répondit sagement William.
La mère repartit dans la cuisine tout en passant auprès de William en lui faisait une tape sur l’épaule, histoire de dire qu’elle ne s’en inquiète pour rien au monde et qu’il faudrait qu’il prenne son courage à deux mains !
Et voilà un problème de moins… Pfiou !
William soupira, puis, s’approcha alors de Rose :
- Pourquoi tu fais ça ? murmura-t-il
- Il faut que tu me donnes l’échiquier, répondit-elle
- Pas question, j’en ai besoin pour retrouver Jimmy !
- Et qu’est-ce que tu vas faire ? Tu vas tenter de jouer les héros à chaque nouveau monde, chaque nouveau coup ? Hein ? Tu sais bien que tout peut être dangereux, et seul tu n’y arriveras certainement pas ! rappela Rose
- Hé bien t’as qu’à m’aider !
- Oh non, pas question d’y retourner encore une fois aujourd’hui ! rectifia-t-elle. Et plus tu t’approches vers la fin de la partie, plus c’est dangereux crois-moi ! Ce système est élaboré stratégiquement et est très complexe : si tu procèdes à une partie extrêmement courte, tu risque de t’exposer à des choses bien plus dangereuses que tu ne l’imagines, et dans le cas contraire, si la partie est longue, tu risque d’y passer toute ta vie ! expliqua-t-elle. C’est inutile d’aller le chercher, il est perdu à jamais.
- Pourtant vous aviez réussi à finir la partie, et ne me dis pas que c’était trop difficile, car tu es encore en vie ! Et tu as dit que la perte d’une personne dans un monde et qui se retrouve dans un autre signifie la destruction du monde ! Hé bien qu’est-ce qu’on attend avant que ce monde soit déclin à être exterminé pour de bon ? proposa William
- Non, il ne s’agit pas d’un cataclysme qui arrive au bout d’une heure ! On a du temps ! Et tant que personne ne se rend compte que ton ami a disparu : il ne s’y passera rien !
- Donc, si je comprends bien, d’ici ce soir : c’est la fin! Puisque les Wendells s’en rendront compte!
- Ecoutes, je sais bien que tu te fais un sang d’encre pour lui, lui rassura-t-elle. mais ce n’est pas quelque chose à prendre à la légère, crois-moi! Et si tu me rends l’échiquier, je te promet de faire en sorte qu’il revienne sans que t’y risque ta peau. Il te suffit juste de me le rendre!
Elle a raison, à chaque monde je risque ma vie… Si je lui rend l’échiquier et qu’elle tient sa promesse, bientôt Jimmy sera sain et sauf!
- Bon d’accord! accepta-t-il. Laisses-moi juste le temps d’aller monter le chercher, je reviens!
William se retourna et monta deux par deux les marches de l’escalier qui lui mena dans sa chambre. Il souleva l’échiquier, et le transporta le long du trajet-retour. Il tendit alors le jeu à la jeune fille qui le prit sans discuter.
- Voila! conclut-il.
- Merci William! Tu peux être sûr que l’échiquier est en de bonnes mains! remercia-t-elle
- Tu me préviendras lorsque tu auras fini la partie! J’ai hâte de le revoir, il me manque après ce qui s’est dernièrement passé entre nous deux, expliqua-t-il.
- Ne t’en fais pas, ce sera terminé d’ici bientôt.
Rose salua William, et quitta la maison avec l’échiquier. Le garçon quant à lui, referma soigneusement la porte, sa mère l’appela :
- William! Tu sais quand est-ce que rentre Jimmy ? demanda-t-elle. Ses parents viennent d’appeler, ils s’inquiètent de son cas.
- Oui, c’est bon maman ! répondit William. Il est parti rentrer chez lui, il a oublié d’allumer son téléphone portable, il vient de les joindre !
- D’accord, répondit-elle. Et ta petite amie ?
- Oh, elle a eu un imprévu de dernière minute! Elle est repartie! mentit le jeune homme
- Très bien, soupira-t-elle. Dire que je viens de préparer des pancakes...
- Des pancakes ? s’émerveilla William alléché. J’arrive maman !!!
Ben oui, après ces deux mystérieuses aventures, ça ne vous donne pas l’appétit ? Hé bien, moi si ! Et pourtant, tout ceci, n’est que le début d’une grande aventure !
William courut rejoindre sa mère et s’empara du premier pancakes qu’il y avait sur la table, sa mère le regarda impressionnée par sa fameuse nouvelle force de gourmandise! ne semblait-elle jamais avoir vu ça ?

FIN DES DEUX EPISODES PILOTES DE L’HISTOIRE
Niveau Pyramide : 2 4687
mardi 02 mars 2010 19:16
1229 Trancheuse de 1118 1229
(et oui je te l'avais bien dit,hein?)
Niveau Pyramide : 1 1583
mercredi 03 mars 2010 21:01
Très drôle leeman60 => Tu vas ne faire que ça jusqu'à la fin ou quoi ?

En attendant : chapitre 1 !!

Chapitre 1 - Voisinage

La scène se tournait chez les Koener, la police était présente, la pression exercée sur William. William conta une histoire.
- …et il est sorti de chez moi ! Après, je n’ai plus eu de nouvelles ! mentit William
Voilà, c’était prévu tout ça ! Les Wendell qui s’inquiètent à propos de Jimmy, et ça fait plusieurs jours que Rose ne m’a toujours pas parlé de la fin de la partie ! Pourtant, nos voyages dans les différents mondes n’ont pas souvent la même période de temps par rapport à la réalité ! Comme la dernière fois, j’ai passé trois jours dans un monde sans adultes, et pourtant il ne s’est réalisé que une, deux heures dans le monde réel.
- Tu es sûr qu’il n’était pas troublé ? Ou effrayé ? Quelque chose de bizarre dans son comportement ? Son regard ? demanda le policier
- Non, je n’ai rien vu, désolé. répondit William
Soudain, le talkie-walkie du policier activa un signal : un collègue le contacta. « Hep ! Faut nous rejoindre, on a retrouvé Alex Threater, il prépare un hold-up dans la 51ème ! » dit la voix. Le policier finit alors de noter ses derniers mots sur son carnet, et le rangea dans le fond du revers de sa veste. Puis, il se leva du fauteuil sur lequel il se trouvait, et se prépara à saluer la famille. Mais d’abord, il sortit de sa poche avant une petite carte de la taille d’une carte de jeu de tarot.
- Bien, si toutefois tu remarques quoique ce soit, de la présence de ton ami, appelles-moi ! dit-il en donnant à William sa carte.
Le policier sortit alors de la maison en activant son talkie-walkie et répondit « C’est bon, j’arrive ! », et rentra dans son véhicule avant de quitter le quartier : son job était plus ou moins terminé. William regardait ses parents : ils s’inquiétaient ! Aucun d’eux n’avait remarqué la sortie de Jimmy de la maison, seul William le prouvait. William doute que ses parents croient qu’il soit coupable de la disparition de Jimmy, et qu’en réalité, c’était plus ou moins vrai ! Mais que pouvait-il dire ? Jimmy ne se trouve plus dans le monde réel, il se trouve dans un monde parallèle : qui pourrait y croire ? Néanmoins, William se posa des questions sur Rose : Rose se faisait passer pour sa petite amie, et elle venait souvent d’une manière élégante, de quoi lui faire jouir, mais chaque rendez-vous consistait pour elle un moyen de savoir si William gérait la situation et qu’il ne révélait rien de l’échiquier ! Si Rose passe beaucoup de temps le fréquenter, ça devrait vouloir dire qu’elle est loin de la fin de la partie, mais n’était-ce que pour cette raison ? Depuis la dernière aventure qu’il a eu avec elle, dans le monde blanchi de mauvais actes, William sentait en lui un sentiment qui lui donnerait bien envie d’approcher cette fille. Et à chaque moment où il sentait ses pulsions vouloir prendre contrôle de son corps, il faisait tout pour la renvoyer hors de chez lui !
La prochaine fois que je la vois, je ne me retiendrais pas ! Je ferais ce que mon cœur me dit ! Et si elle ne m’aimait pas ? Et si elle m’aimait ? Et si elle venait me voir plutôt parce qu’elle m’aimait mais qu’elle ne voulait pas libérer Jimmy tout de suite ? Que dois-je faire la prochaine fois ?...
Pendant que ses parents filèrent dans la cuisine pour parler secrètement de leur avis personnel en ce qui concerne les faits qu’il a raconté à la police, William quitta discrètement la maison : il fallait qu’il voie Rose ! William n’avait en réalité jamais tenté de mentir, ce n’est que récemment qu’il est obligé d’agir ainsi : mentir, cacher… William sentit en lui qu’il ne pourrait pas continuer plus longtemps ! Mais dire la vérité serait également mauvais pour lui, et aussi pour Rose. Quelle serait la bonne solution à envisager ? Serait-ce mal d’agir ainsi ? Ou a-t-il fait tout ceci dans le but de protéger ceux qu’il aime ? A-t-il fait un bon, ou un mauvais acte ? Traversant la rue, il retrouva la fameuse brocante bien en face de lui : décidément, le voisinage est facile ! Pas besoin de véhicule de transport, à tout moment ils pourraient se voir, se rencontrer en cachette, faire plein de choses… Mais uniquement si William prend son courage à deux mains ! Et encore, ce n’est pas gagné ! Car il faudrait aussi que ce sentiment soit réciproque ! William contourna une décapotable rouge où des sons de jouissance d’un couple se présentaient : mais qui pourrait bien faire ce genre de relation dans une voiture, en plein après-midi, et surtout : lorsqu’il n’y a aucune couverture sonore ? William ne préféra même pas y penser et s’approcha de la boutique : « Fermé » indiqua le panneau accroché à l’arrière de la porte d’entrée. Oui, bon, boutique fermée, mais rien n’indique qu’il pourrait encore s’y trouver quelqu’un ! Peut-être une activité… Peut-être justement Rose et sa mère sont allées voyager dans un monde parallèle ! William longea le jardin et tenta d’y apercevoir quelque chose dans le bâtiment rien ! En revanche, il retrouva au milieu de la cuisine l’échiquier, et malheureusement pour lui, le jeu n’a pas avancé d’un coup !
Elle se moque de moi ? Elle n’a rien fait !!!
William fit les yeux ronds devant la fenêtre et, enragé, il détourna son regard et frappa d’un coup de pied le gazon mal rasé en poussant un juron ! Au même moment, Rose embrassait un jeune homme au niveau des sièges de la décapotable, jusqu’à ce qu’elle interrompit le baiser lorsqu’elle entendit le juron près de chez elle.
- Ah, y a quelqu’un ! s’étonna-t-elle en se relevant
- Mais… Je croyais que tu avais fermé la boutique ! s’étonna-t-il
- Oui, mais non, j’ai cru entendre William ! expliqua Rose
- William ? Ton ex ? demanda le garçon en fronçant les sourcils
Rose se repositionna de façon à pouvoir reboutonner sa chemise et répondit :
- Non, un voisin ! expliqua-t-elle
Rose ouvrit la portière du véhicule, et en sortit, laissant le pauvre jeune homme imberbe et torse-nu incompréhensif. Ce dernier se repositionna lui aussi, de façon à pouvoir la regarder en face et lui demanda :
- Il vient souvent comme ça ? s’étonna-t-il
- Non, c’est la première fois… soupira-t-elle. T’inquiètes, je reviens tout de suite !
Rose se dirigea chez elle, et retrouva William en train de forcer les fenêtres de cuisine :
- William ! interpella-t-elle. Qu’est-ce que tu fais ici ? demanda-t-elle
- Tu m’as mentie ! Depuis le début !!! ragea-t-il tout en s’efforçant de casser la fenêtre.
- Et alors ? C’est pour ton bien que je fais ça ! Il n’y a pas à se précipiter dessus ! insista-t-elle. Alors arrête !
William sut qu’il y aurait sûrement une part de vérité à faire ça pour lui. Mais pourquoi ne pas l’avoir dit plus tôt ? William lâcha les fenêtres, et lui fixa un regard qui voulait gagner sa confiance. Rose continua :
- L’échiquier a une part d’assemblage complexe. Si tu fonces droit au but en voulant finir le jeu au plus vite, les mondes traversés seront plus désagréables et plus dangereux que si nous le laissons reposer et faisons en sorte de faire des dizaines de tours. Et cela en prendrait l’éternité !
- Pourtant vous avez réussi à finir le jeu ! insista William.
- Avec plus de sacrifices que ce qu’il y aurait eu si l’on n’avait pas continué. On le regrette maintenant ! Ton ami Jimmy est encore vivant dans l’autre monde où tu l’as emmené, penses-y !
- Et la fin du monde alors ?
- Mensonges, il nous fallait seulement s’en souvenir afin que nos doubles des autres univers n’y jouent pas une seconde fois, et inversement. C’est une sorte de pacte entre les univers.
- Alors pourquoi me l’avoir donné ? demanda William
Rose baissa la tête, et d’un simple souffle, répondit :
- Ma mère souffre d’un dédoublement de personnalités à quelques moments… Maintenant, nous gardons l’échiquier. Que cela reste secret, tu ne reverras plus ton ami. Alors rentres chez toi !
William, silencieux, tourna son regard vers l’échiquier de nouveau l’air inquiet. Rose finit alors par quitter son jardin et retrouva le beau garçon qui patientait dans la voiture.
- Alors ? demanda-t-il
- C’est bon, c’est réglé ! expliqua-t-elle
- Ah oui ? s’étonna-t-il. Bizarre son regard ! remarqua-t-il
Rose se retourna et aperçut William qui les voyait tous les deux près de la décapotable.
C’est pas vrai ! J’y crois pas !!! Même son faux amour était… du bluff ????
William n’en pouvait plus, et décida de récupérer une pierre au loin du jardin des Wengdell, et la balança contre la fenêtre de la cuisine créant ainsi un gros trou et des débris. Puis, rentra chez lui sous les gros yeux surpris de Rose.
- Hé !!! intervint le garçon
- Non Ackles ! retient-elle. Laisse-le !

Je m’appelle : William Koener, et il m'est arrivé une mauvaise aventure. En allant dans une brocante, j'ai acheté un échiquier. Mais il n'est pas comme les autres, chaque coup, chaque pièce, chaque case ouvre un portail menant à des univers parallèles et fantaisistes. En présentant ce jeu à mon meilleur ami, je l’ai perdu dans l’un de ces mondes. Il faut que je le retrouve ! Et pour ça, il me faut finir le jeu, mais la partie est loin de toucher à sa fin…

Episode 3/ Fc4 : Le mal du bien
Le Panthéon ! 1
mercredi 03 mars 2010 21:17
Tu pourrais me "filer" un peu de ton imaaagination débordante ! 8O

Bravo ! ;)


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