Voilà, vous êtes proches de là où j'en suis dans mes écrits ! Bonne lecture :
Chapitre II : Rose SorentAlors la seule partie la plus rapide que je connaisse est le coup du berger...Face à l'échiquier, William bougea alors la pièce noire opposée de celle qu'il avait jouée, et un vortex entoura William à ses pieds, et le fit glisser d'une longueur indéfinissable.
- AAAAHHHH !!!!!! cria William dans la chute.
On ne sait à quel endroit William a pu être envoyé, il était tombé droit sur un lit. Il regarde à droite, à gauche : personne ! Il se trouvait dans une salle totalement blanche, rares étaient les meubles de couleur. Atteint d'une curiosité, William sortit du lit afin de se diriger vers la seule porte de sortie.
Qui sait si je me trouves dans un lieu mis en quarantaine... Le lieu dit des anges peut-être ? Ou des morts...La porte à moitié ouverte, William découvrit dès alors où il se trouvait : dans un hôpital ! Pleins de corps amputés et de souffrants quasi-moisis, et même du linge plongé dans le sang.
Dans le mille... enfin... à moitié ! Malades en quarantaine, certains morts et vers le paradis dûs à une sacré guerre... Mais... à quelle époque sommes-nous ?- William ! appelait une voix. Que fais-tu ici ?
William se retourna, et dévisagea le profil de l'infirmière assez familier.
- Madame Wengdell ? Mais...
- Retournes dans la chambre de réhabilitation, tu n'as pas encore passé l'exa-vaccin de la journée !
- Mais... que faites-vous ici ?
- Hé bien je viens aider ces patients qui souffrent du mensonge. Il faut bien qu'on les soigne, non ?
Derrière elle, William vit qu'on transporta Jimmy sur un lit : il était en pleine forme, mais était ligoté, et n'arrêtait pas de gigoter dans tous les sens.
- Hé ! Mais lâchez-moi ! Libérez-moi ! cria Jimmy.
- Oh non ! Jimmy ! s'écria William tout en courant vers lui.
- William ! Aide-moi s'il te plaît ! cria son ami.
Mais l'infirmière Wengdell lui retenait par le bras :
- Oh comme je suis navrée pour toi, William. J'espère qu'il s'en sortira très vite ! Tu devrais passer l'exa-vaccin, cet endroit est très contagieux !
- Mais... Jimmy, qu'est-ce qu'il a ? Pourquoi ils l'emmènent ?
- Il a aussi été atteint ! répond-elle à voix grave. Mais ne t'inquiètes pas, tout se passera bien ! Tu le reverras bientôt, allez, suis-moi ! dit-elle tout en l'emmenant hors de cette salle.
- Voilà, c'est ici ! dit-elle en ouvrant la porte.
- Mais, qu'est-ce que c'est que cet exa-vaccin ? demanda William. Je l'ai déjà passé y a trois ans, je ne devrais pas le passer avant l'année prochaine ! C'est insensé !
Mais l'infirmière ne l'écoutait pas, elle se mit à crier sur une fille :
- Rose ! Honte à notre famille ! Tu n'es pas sensée écrire sur le mur ! C'est malpoli, tu n'imagines pas quelles conséquences cela pourrait avoir sur toi ?
- Mais mmamaaaannnnnn eeeeuhhh !!! répondit la fille concernée.
- Si tu rates l'exa-vaccin, tu n'es plus ma fille ! C'est compris ? Il faut que tu sois forte, ne laisse pas ces maladies contagieuses t'envahir ! ordonna Mme Wengdell d'une voix ferme.
Mme Wengdell a une fille ? Whaaa, punaise, comme elle est... jolie. Mais son comportement de petite gosse... Houlà, ça lui va pas avec son profil... Mais qu'est-ce qui se passe ici ?- Bon, reprit-elle. Tu restes bien ici, et tu n'en sors pas, c'est bien compris ? rappela-elle en s'adressant à William.
- Euh... Oui...
Même si j'sais pas vraiment à quoi m'attendre... Au moins, Rose va m'tenir compagnie.Mme Wengdell claqua la porte, et Rose reprit alors ses activités, et comme une petite fillette : une petite jupette n'est pas de trop pour déstabiliser William.
Euh... Finalement, c'est p'tet pas une bonne idée...William se mit à s'asseoir sur une chaise, et n'avait rien à faire afin de s'occuper : pas de magazines, pas d'écran : rien. Rose bougea d'un côté, de l'autre, se pencha plus ou moins vers un sens. Et n'ayant rien à faire, petit à petit, William se mit à la contempler, d'un oeil, puis des deux, d'un air rêveur et absorbé : le temps se fit long. Rose, consciente qu'il la regardait, se mit alors à s'approcher de lui, curieuse elle aussi.
On dirait qu'elle n'a jamais vu de garçon comme moi... Ou alors... c'est qu'elle a... une case en m...Rose se mit alors à le renifler de la tête, et William ne savait comment réagir. Petit à petit, elle le renifla de haut en bas.
- Euh... R... R... R... Ro...
La jeune fille arrêta ses mouvements, leva la tête, et le regarda des yeux ronds.
- Ro... R... R... balbutia William.
- RRRRROOOOOAAARRRRHHHH !!!! rugit Rose face à lui.
- R... AAAaaahhh... s'effraya William.
Rose se mit alors à sourire.
On dirait qu'elle soit contente d'avoir rugit... Mais pourquoi... ? J'lui ai pas fait de jeu comme avec les enfants à ce que j'saches... à moins que... j'ai trop essayé de prononcer son nom en vain... Bon dieu... On n'est que deux patients à attendre dans cette salle, et cela fait depuis un bout de temps qu'aucun de nous deux n'a été appelé. Mais qu'est-ce qui se passe ? Je me demandes si le mieux est de passer l'exa-vaccin mystérieux, ou de rester encore une seconde avec elle...Rose toujours aussi curieuse par William, se mit alors à le tâtonner à la tête, et comme elle l'a reniflé, elle voulut alors le tâtonner de haut en bas. Soudain, alors qu'elle était près du nombril, la porte s'ouvrit :
- Rose Sorent ! appela le vieil homme en blouse blanche.
Ouf... Bah au moins j'ai eu chaud... Elle allait me tâtonner l'entre-jambe.- NA ! cria-t-elle en s'accrochant à William.
- Ou...Ou....Ouh... souffla William pris d'une terrible douleur, tellement elle s'était serré à lui.
Le vieil homme se mit à venir, une seringue à la main.
- Attention Rose, retire tes mains de ce garçon immédiatement !
Ouïe... Elle a de la force... Punaise comme elle serre encore plus... C'est pas un médecin qu'il me faut là, c'est d'une pince pour déserrer ses mains...- Rose, vient ici tout de suite, ou sinon tu sais ce que tu vas avoir... rappela le vieil homme.
- NA !
Soudain, il se mit alors à planter la seringue dans le dos de Rose, il était tellement vif que William en était terrorisé !
Il aurait pu la tuer avec ça... Et en plus ça doit faire mal !!La jeune fille s'écroula à terre, et lâcha William, elle fut alors transportée dans la salle, laissant William seul en attente.
En espérant que je n'aurais pas un coup tel que celui que j'viens de voir...L'autre porte s'ouvrit :
- William ! Tu vas bien ? s'inquiéta une voix.
- Maman ? s'étonna William.
Chapitre III : Massacre à la hache ! (non, pas encore à la tronçonneuse)- Maman ?
- Oh, mon pauvre chéri ! Il ne faut pas t'en faire pour Jimmy. Tu le retrouveras bientôt, ce n'était pas la peine d'aller dans la salle contagieuse ! Oh, j'espères que tu vas bien...
- Mais je me sens bien Maman...
Du moins... te voir ici m'étonnerais beaucoup...- Oui, c'est bien ce que je pensais. Quel dommage, mais n'aies crainte, j'ai fait appel à un bon médecin. Il pourra te guérir !
Un médecin ? Pour moi... D'accord...C'est gentil de ta part, mais je n'en vois pas l'intérêt...William poussa une grimace puis se força à faire un sourire lorsque sa mère avançait dans la salle et laissait passer ce soi-disant médecin.
- PAPA ? croassa William la bouche grande ouverte. M... M... Mais.... Mais Maman, il ne peut pas être médecin !
- Chéri, il n'y a vraiment pas de quoi s'inquiéter, il s'est déjà occupé avec d'autres enfants de ton âge ! encouragea sa mère.
Le médecin sortit de derrière son dos : une hache !
- Maman ! Qu'est-ce qu'il va me faire là ? paniqua William. Il... Il a besoin d'une hache pour me... me guérir ?
Je ne reconnais pas mes parents... mais alors... pas du tout.- Désolé mon fils mais c'est pour ton bien ! dit-il.
- Je t'en prie chéri, on ne voit que cette solution !
- Maman, je... je te signales que papa n'a jamais été manuel, et n'a jamais tou... touché à une hache.
- Oh mon pauvre chéri, tu as aussi été atteint de la perte de mémoire... s'inquiéta la mère.
- Il va falloir guérir sa tête ! conclut le père.
- Ma... ma tête ? Avec une hache ?
L'homme s'avança vers William toujours sur sa chaise, la hache bien en l'air.
- Oh mon dieu... prononça William.
- Ca va être un tout petit peu douloureux ! dit le père.
Une petite douleur ? Avec une hache ? Non mais je rêve ? Ils sont pas bien !Son père se prépara à frapper la tête de William qui était resté pétrifié !
Qu'est-ce que j'suis censé faire dans ces conditions ?Et il attaqua ! Son coup manqua William de près : la hache était coincée dans le mur : le crâne de William était à quelques centimètres plus bas.
- AAH ! cria William en se levant.
William était bloqué à toute issue : sa mère bloqua la porte de sortie, et dans l'autre salle devait se trouver le vieil homme qui a déjà su planter une seringue dans un dos, l'aiguille très pointue enfoncée profondément.
Où puis-je bien m'enfuir ? Dans tous les cas y aura un fou...- William, calmes-toi ! se mit à dire la mère. Ta maladie est en train de reprendre le dessus, sois fort ! Ton père peut te guérir, il a le remède !
- Oh oui, je vois bien ça ! répondit William d'une voix délirante. Un remède assez efficace : IL A UNE HACHE ! précisa-t-il. UNE HACHE !
- André ! dit-elle en s'adressant à son mari. Il faut faire quelque chose ! supplia-t-elle.
- Je sais, il ne faut pas que je le rates cette fois-ci !
- Mais vous êtes dingues !!! dit William angoissé.
- YAAAHHH ! cria le père en courant vers William, la hache prête à trancher.
- AAH !
William bondit vers un côté, alors que le père allait lui trancher la gorge, vu la hauteur à laquelle il avait porté son coup cette fois, horizontalement. Mais il récupéra sa hache, et allait porter un nouveau coup !
- Héhé... délira William. Tu faillis me toucher... Tu vises mieux maintenant, tu fais des progrès... Mais là, c'est pas le bon moment pour être manuel hein ? Tu crois pas ?
- Oh, je préfères ne pas voir ça ! se mit à sangloter la mère.
- YAAAAAHHHH ! cria-t-il en l'attaquant sur le sol.
William roula vers le côté, et se releva à présent, et alors que le père récupéra sa hache, William prit la salle d'à côté.
En espérant que l'autre vieux fou n'ait pas une seringue aussi grosse qu'avant...- Appelles la sécurité ! se mit à dire le père en s'adressant à sa femme. Il est gravement atteint !
- Tu en es sûr ?
- C'est pour son bien, ne l'oublies pas !
La mère acquiesça, et le père se mit à prendre la porte que William vient d'utiliser.
William traversait un long couloir sans tableaux, sans motifs, sans meubles. Et par rapport aux autres lieux, ce couloir était sombre et tout le blanc semblait bleu. Chacune des salles à droite à gauche avaient des instruments de dentistes, de chirurgie, d'orthopédie, de tout, même des instruments de torture, des scies, des tronçonneuses, des serpents...
Maintenant j'comprends pourquoi ils sont fous, ils sont tous passés par là !William marchait : il ne savait pas où il se dirigeait, et ne savait pas non plus où pouvaient être Rose et le vieux médecin. Le calme régnait dans ce couloir à l'atmosphère sinistre, l'absence de vie, l'absence de bruit laissaient penser que William était seul dans ce couloir. William semblait de plus en plus perdu.
Peut-être qu'ils sont passés par un autre chemin ?William fit demi-tour et fut surprit par l'apparition subite de son père, la hache prête à l'asséner !
Il n'avait pas fait un seul bruit depuis tout à l'heure !- AAAHHH ! cria William.
William esquiva de peu à l'attaque de son père, mais ce n'était pas fini, et William n'eut pas le temps de souffler : il lui a fallu de relever très rapidement pour esquiver de nouveau à la lame de la hache !
- Papa, mais tu es dingue ? Tu as failli me tuer !
- Courage fiston, la maladie va bientôt s'en aller ! N'aies crainte, sois courageux ! insista son père.
- Moi, du courage ? Pour mourir ? Déjà, t'as bien du courage, toi, pour vouloir tuer son propre fils !
- C'est ta maladie qui essaies de prendre le contrôle de ton esprit, mais ne t'en fais pas, les secours arrivent et pourront m'aider à te guérir ! continua son père.
On entendit dès lors des bruits de pas, comme dans une course.
- Ah, les voilà qui arrivent ! Ce sera rapide et sans douleur !
Punaise, manquait plus que ça... déjà si il me rate de peu, il a prévu des renforts... Pourquoi... mais pourquoi j'ai fait ça !?! Je n'aurais pas dû continuer à jouer sur ce maudit échiquier de malheur !Le médecin reprit sa hache, et était en mesure d'attaquer de nouveau.
- Bon, allez, cette fois on ne bouge pas ! rajouta-t-il.
- Ouais... et le p'tit William va s'enfuir !
William se mit alors à courir dans le couloir, et se fit poursuivre par son père.
Oh, comme si l'on ne s'y attendait pas... Et en plus il prend de la vitesse !... Que faire ?Mais son père gagne du terrain, et la distance qui sépare ces deux personnages devient de plus en plus courte. Mais William tourna alors à la première salle qui lui venait à côté, laissant son père continuer devant lui un peu par l'effet de surprise. William inspectait les environs et traversait pièce par pièce en ligne droite, sans s'arrêter ! Jusqu'à ce qu'un bras sortit de nulle part, et l'emmenait dans un endroit sombre. William a beau vouloir crier, aucun son n'en sortit parce qu'il ne pouvait ouvrir sa bouche : une main le lui masquait.
- MMMhhh !!!! gigota William.
- Chut ! murmura une voix.
Ce... Cette... Cette poitrine...William levait les yeux, et vit Rose qui lui faisait signe de ne pas faire de bruit.
et pour clore ce mois-ci voici la dernière partie que j'ai écrite

Vous aviez donc rattrapé mes autres lecteurs d'un autre forum (et maintenant va falloir taper...)
Chapitre IV : Les RosesRose ?- Mmmh... Mhh.. Mmmhh ! sortit William d'une voix plutôt aigüe.
Rose le relâcha afin qu'il puisse parler.
- Rose ? demanda William. Mais comment t'as réussi à te débarrasser du vieux fou ? Il... Il t'a planté une aiguille !
- Comment ça ? Quel vieux fou ? Mais de quoi tu parles ? J'suis juste venue ici pour te ramener idiot !
- Ramener ? Et où ça ?
- D'après toi ? Ma mère m'a envoyée ici pour t'aider à finir la partie, et tu n'y arriveras pas tout seul ! lui dit Rose.
- Mais comment t'as pu venir ici ? Je... Je veux dire, tu n'étais pas avec moi quand j'ai bougé le pion noir !
- Secret de famille. Bon, assez discuté, il faut sortir d'ici et vite !
- Et comment on fait ? demanda William.
- Il faut résoudre l'énigme !
- L'énigme ? Quelle énigme ?
- Chaque monde possède une énigme qui lui est propre, et il faut la résoudre. Alors ? Ici, qu'est-ce que tu as vu de spécial ici ?
- Euh... Ici, c'est un monde de dingues, y a rien à comprendre... Ta mère est infirmière, mes parents veulent me trancher la tête avec une hache pour me guérir, Jimmy a été emmené je ne sais où, et un vieux fou t'a planté une aiguille dans le dos...
- Tu m'as vue moi aussi ? J'étais comment ?
- Euh...
William rougissait à tel point que Rose le remarqua.
Mais que dire d'elle si c'est qu'elle m'a déstabilisé à fond avec son air de gamine et sa jupette.- Merci d'la réponse ! déclara Rose tout en soupirant.
- Mais... j't'assures que...
- N'en parles même pas ! J'préfères même pas l'savoir !
Soudain, une hache fut balancée et était plantée entre Rose et William : tous deux tournèrent la tête, et virent deux personnages ! L'un avec une grosse seringue et une lance, l'autre ramassa à présent une tronçonneuse.
- Ils nous ont retrouvés ! s'écria William.
Le vieux fou lança à son tour la lance qu'il tenait en main.
- Pousses-toi ! cria Rose en repoussant William de côté et en esquivant la lance.
Les deux jeunes étaient séparés, et tandis que Rose affronta le vieil homme, William dût se confronter à son père qui alluma sa tronçonneuse, laissant un bruit assourdissant résonner dans la salle.
- Papa... s'il te plaît... j'veux rester vivant !
- Ce n'est pas... ton père ! cria Rose tout en esquivant les coups de seringue que le vieillard tentait de lui planter.
- Cette fille est également atteinte de cette maladie ! dit le père. Elle tente de te contaminer, ne l'écoutes pas !
Rose recula de plus en plus vers une autre salle pleine d'instruments. Le vieillard attaqua de nouveau avec sa seringue, et Rose esquiva une énième fois. Elle prit alors une table à roulette et la glissa contre le vieillard qui en perdit la seringue.
La tronçonneuse toujours en marche, William a beau reculer petit à petit, se cacher derrière un meuble, mais à chaque fois, son refuge n'était que de courte durée !
- Papa... je t'en prie... écoutes-moi !
- Une fois que tu seras guéri, pas avant ! Je sais ce que tu vas me dire, mais ce ne sont que des bêtises, crois-moi ! Tu seras bientôt guéri ! insista son père.
Rose récupéra la seringue, et la planta dans la tête du vieillard.
- YAAH !
Elle se dirigea vers la salle précédente, et récupéra la hache avant de rechercher William. Qui quant à lui était bloqué, il ne pouvait plus fuir davantage : il était tellement effrayé qu'il en perdit l'équilibre et tomba en arrière.
- PAPA !
Son père leva la tronçonneuse, et se prépara à la planter en plein coeur de sa progéniture, mais Rose apparaît, et planta de revers la hache qu'elle tenait de ses deux mains fermes. L'homme s'écroula de côté, la tronçonneuse avec. Et alors que son père souffre, William fut relevé par Rose et emmené.
- Oh non ! Papa ! sanglota William.
- Allez, dépêches-toi !
Plus tard, Rose et William se trouvaient dans une salle où se trouvaient de nombreux patients.
- Tu... Tu as osé...
- Je te signales que ce n'est pas ton père ! lui rappela Rose. Alors pas question d'avoir pitié de lui d'accord ?
- Mais...
Rose brandit sa main vers la tête de William : elle lui cachait la vue.
- Hééé ! râla William. Qu'est-ce qui se passe ?!
- Oh là là ! Non, j'y crois pas... Il ne faut pas qu'tu voies ça !
- Quoi donc ? demanda William.
- Il se trouve que maintenant, j'ai compris pourquoi tu ne m'as rien dit à propos de l'autre moi !
Devant elle, se trouvait une autre Rose, jupe assez courte pour qu'on en vit une culotte ! La vraie se mit alors à le pousser vers un autre chemin.
- Mais si j'te l'disais, j'suis même pas sûr que tu l'aurais bien pris !
- Il valait mieux que je me prépares plutôt que d'avoir l'effet de surprise ! dit-elle.
- Bon, maintenant qu'est-ce qu'on fait ?
- Vu que tout le monde est fou, j'imagines que la solution de résoudre l'énigme serait de les révolutionner...
- C'est à dire ?
- Libérer les patients, et changer l'ordre des choses ! Ca marche souvent dans ce genre de cas !
- On va retrouver Jimmy ? s'exclama William content de la nouvelle.
- Le Jimmy que tu connais n'es pas le même ici !
- Mais si, on est encore ami, il a la tête d'une personne normale ! Pas aussi fou que le reste du monde ! insista William.
- Et même si on le libère, on ne va pas l'emmener sur Terre !
- Et pourquoi ça ? Hein ?
- Parce que faire disparaître une personne d'un monde en l'envoyant dans un autre pourrait changer le cours des choses, et détruire tous les mondes un à un. Il vaut mieux le laisser ici !
- Mais comment je vais expliquer sa disparition moi ?
- J'en sais rien, mais la seule chose qu'il y a à faire ici pour l'instant en priorité c'est survivre. Il ne faut pas mourir dans ce monde, sinon c'est terminé, la Terre sera anéantie !
William se mit alors à courir le long du couloir, et Rose surprise de sa réaction se mit à le poursuivre.
Je dois retrouver Jimmy !- William ! Arrêtes ! lui cria Rose. Tu vas t'faire...
Des hommes en blouses blanches apparurent devant William qui reculait et retournait vers Rose, mais Rose était également fichue : d'autres hommes la surprenaient par derrière et l'emmenaient vers on ne sait où.
- RETROUVES ROSE ! FAIS VITE ! lui cria Rose.
Mais avant que William ne put s'enfuir, il fut lui aussi capturé et emmené, loin de Rose.
Voilà qui devrait clore ce mois-ci

. Maintenant va falloir que je me mettes à taper et à continuer de taper, taper et encore taper pour tenter de finir l'histoire... en chapitres !

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